Mizar et Merak
Nommées comme toutes mes machines après les étoiles du Septentrion, mes deux imprimantes 3D principales sont des Prusa i3 MK3S (avec module multi-matière ajouté sur Mizar).
Inventées par un entrepreneur Tchèque, ces machines open-source à prix moyen sont l’incarnation de la perfection par la simplicité. Pas d’éclairage, de caméra, de double buse : juste un extrudeur monté sur un portique classique et un lit chauffant, pour un résultat nettement plus fiable et rapide que des modèles industriels dix fois plus chers.
Capable d’imprimer toutes matières à grande vitesse avec l’ajout d’une enceinte construite maison, leur taux de panne est inférieur à un par an depuis que je les ai.
L’ajout du module multi-matière (MMU) sur Mizar (visible à gauche sur la photo) lui permet d’imprimer avec cinq matières ou couleurs simultanément. Cela permet non seulement des impressions multicolores, mais aussi multi-matières : supports solubles, parties flexibles, textures variables…